L'ombre de l'age avance

Hidao, apres 15 années d'errance, apres 15 années d'ermitage, de sollitude et de jeu, se retrouvait, comme de part le passé, face aux roches figurant devant l'entrée du repaire de cette organisation criminelle qu'etait l'Akatsuki. A présent agé de 58 ans, et sans doute trop vieu pour constituer un combatant digne de ce nom, il se trouvait neanmoins devant ces portes de roches, indiscernables pour un regard non avertis. Les membres avaient sans doute passé la main, d'autres avaient rendus l'ame sans doute, et Igmar ne savait en rien si en ce lieu, quelqu'un le connaitrait, de vue, de reputation, ou tout simplement par la simple connaissance reciproque constituant ce lien de camaradrerie. Le paysage etait, comme de part le passé, sec et rocheu. Un doux vent chaud se repercutionnait depuis les tas de caillasses, sur les paroies de pierre brut, jusqu'aux silhouettes, humaines ou non, parcourant quotidiennement cette etendue quasi desertique et peut encline a la survie. Rare etaient les animaux posant leurs sabot, leur pates, sur les rochers de cet espace désolé, et plus rares encores etaient les humains parvenant a l'orée du repaire de l'Akatsuki. De ce fait, et en prenant en compte ces données, Hidao savait que certains membres de l'organisation devaient deja etre informée de l'arrivé d'un homme d'age avancé, arborant les lambeaux d'une cape noir parsemé de nuages rouges, impliquant son ancienne appartenance a l'akatsuki. Car effectivement, Hidao, toujours posté face a l'entrée, portait encore les vestiges d'un souvenir sien et revolu. Les marques de cette epoque de chaos qu'il avait partagé avec ses confrères de part le passé et qui a présent ne tenaient qu'en ce fait qu'il ne savait ou non si cette batisse si complexe etait toujours habité ou non. Il dedaigna alors de poser, l'un apres l'autre, ses pieds sur les gravats marquant l'entrée de ce lieu si etrange. Apposant sa main contre la parcelle de pierre qu'il savait etre la porte d'entrée, il poussa legerement, de son flux de chakra pui,s toujours aussi rapidement, se retrouva dans le hall d'entrée du repaire. Rien n'avait changé, aussi, l'eventualité d'une suppression de l'akatsuki durant ces années d'ermitage, s'offrit a son cerveau. Il ne restait maintenant qu'a attendre ... attendre et reflechir.

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Soudain, et apres quelques secondes seulement de patience, une voix, non inconnu aux oreilles du vieil homme, retentit dans la penombre de la salle, illuminé seulement de quelques torches desquelles s'echappaient des flammes aux formes incongrues et dansant au gré du souffle parvenant d'entres les failles des roches. La voix, sans pour autant affecter physisquement la piece, son ombrage, sa composition ni meme sa matiere, avait par sa propre apparition ajouté ou retiré un semblant d'emotion residant ou manquant en ce lieu. Le souffle chatouillant les flammes accentuaient leurs mouvement en cette danse irreelle et l'echo du vent se claquant pui se repercutant d'entres les parois de pierre bruts donnaient a la piece ce qui lui manquait de charme.

-Toi .... ton visage ne m'est pas inconnu. Et cette cape ... Un ancien c'est cela ?

Tres vite, et au fil des montées et accentuation de voix, de ses echos, se formait un requiem dont l'apparition subtile faisait fremir la moindre parcelle du vieil homme. Hidao, ne decelant meme pas l'origine de la voie, ne repondit que ceci, de sa voie toute aussi froide que la premiere, d'une rigueur absolue.

"C'est cela même. le nom d'Hidao Igmar Von Deutel vous raffraichirait il la memoire auguste membre de l'akatsuki, dont j'ai peut etre eut le plasir de connaitre l'identité de part le passé... Vous esclaferez vous ostensiblement, apres un depart que mes confrères eurent défini de prématuré, j'ai érré quinzes années durant pour, sans savoir comment ni pour quelle raison, me retrouver shinobis du village de Hi no Kuni. Bien sur cet epilogue ne fut que de courte durée et, comme a mon habitude, je m'en suis allé pour voguer de nouveau dans ce monde ... dont je n'effleurait pas de mon etroit esprit, la profondeur. Et me voici a nouveau devant ces portes, puis au seuil de cette batisse, dans mon ignorance, me guidant d'un pas assurement plus determiné que celui qui me conduisait il y a de cela quelques décénies. Me voila donc, comme vous l'aurez deffini, pour vous demander humblement d'accepter a nouveau l'offre de mes services qui, a ma grande honte, n'eurent pas étés anterieurement aussi loyaux que je ne l'aurais crus ou vanté. Quoi qu'il en soit, le choix n'est plus mien et la voix me guidant capricieusement ne saurait trop me conseiller de mettre fin a cette existance de beatitude si par malheur j'eu a faire face a un refus de votre part"

Le discours d'Hidao etait, comme a son habitude, calme et posé mais, et de facon controversé, etrangement entrainant. Lui même ne savait trop quels avaient étés les mots ui, sortis de sa bouche ridés et fixés par une structure eurent pris forme sous la forme de ce discours quasi-melodramatique. L'autre en etait peut etre l'instigateur a nouveau ...